C'est en janvier 2013 que Cécile Duflot, ministre chargé du dossier du Grand Paris, évoque pour la première fois la possibilité d'une reprise de l'une des deux branches de la ligne orange par un prolongement de la ligne 11, soit vers Noisy - Champs, soit vers Champigny. Aucun raccordement n'est prévu avec le réseau concurrent de la CMP[4]. Une concertation[37] est lancée fin 2010[33], dont les conclusions sont rendues début février 2011. La municipalité de Clichy a approuvé lors de son conseil du 29 janvier 2008 le prolongement de la ligne 14 selon le projet du STIF, mais a demandé la réalisation d'une station intermédiaire dans le quartier de la Maison du Peuple, un renforcement rapide de la desserte bus, ainsi que la mise à l'étude dans les meilleurs délais d'une navette fluviale à l'image de Voguéo, entre Suresnes et Clichy et les villes au-delà, via La Défense[62]. Ces rénovations subissent des retards du fait de la faillite de l'entreprise retenue par la RATP, reprise fin 2009 par AnsaldoBreda[118]. Cette situation a conduit, sous la pression des usagers, à la mise en place de plusieurs mesures visant à améliorer l'exploitation de la ligne, dont le pilotage automatique OURAGAN et l'installation de façades de quai. Les travaux se déroulent en trois phases successives. Le matériel MF 19 sera en revanche prévu dès l'origine avec des loges de conduite escamotables, permettant de les faire basculer en conduite automatique ultérieurement[148]. En 2007, selon le STIF, ce prolongement de la ligne 14 — pour un coût est estimé à 890 millions d'euros pour l’infrastructure et le matériel roulant — devait permettre de réduire la saturation de la ligne 13 et sa réalisation technique n'aurait pas présenté de difficultés particulières[42], hypothèse qui sera invalidée par des difficultés de creusement du tunnel entraînant des retards au moins jusque mi-2020[39]. En effet, à l'époque de sa construction, on ne savait pas construire de stations sous les immeubles. De 2008 à 2011, la SEMAPA, aménageur de l'opération Paris-Rive-Gauche et la Sadev 94, ont confié au bureau d'étude Xelis la réalisation d'une étude de pré-faisabilité à Ivry-Gambetta[16]. La station Quai de la Gare est une autre solution possible. Enfin, le remaniement de la boucle des Invalides, ancien terminus nord de la ligne 14, est réalisé. (Les stations en gras servent de départ ou de terminus à certaines missions). En 1914, la ligne B est desservie par huit rames, avec 368 départs journaliers et un intervalle minimum de deux minutes trente secondes[7]. En 2017, pour la première fois, la ligne dépassait l'objectif contractuel de 96,5 % de rames disponibles en heure de pointe. Voir les autres projets associés à cette ligne. La présente synthèse en fait un résumé. Celui-ci est formé de trois âmes, d'une hauteur de 3,25 mètres à 5,63 mètres, enserrant chaque voie deux par deux. Il n'est complètement déployé qu'en juillet 2017[45],[39]. En effet, seuls les tracés passant par les stations Verdun et Grands Pêchers sont encore à l'étude. Les deux voies en direction de Châtillon - Montrouge se rejoignent à l'entrée de la station suivante, Place de Clichy, après s'être rapprochées dans un vaste tunnel à trois voies dénivelées[106]. Le 6 juin 2013, lors de la présentation du contrat de développement territorial « Boucle Nord des Hauts-de-Seine », le projet du prolongement de la ligne 13 est envisagé jusqu'à Argenteuil et devrait être étudié en 2016[140]. Après un essai mené durant l'année 2006[53], des portes ont été installées[47] sur les quais des stations les plus saturées. Selon le bilan de la concertation publique, il en ressortirait une nette préférence pour que la station Les Rigollots soit celle de la variante ouest et que la station Val de Fontenay soit située à l'est de la gare, beaucoup plus proche des pôles de correspondances avec le RER A et le RER E. Seul le tracé no 1, passant par la station Grands Pêchers permet une telle disposition. Le projet du prolongement de la ligne 12 du métro est envisagé jusqu'à la gare d'Issy. Depuis le prolongement de la branche d'Asnières en juin 2008, le nombre de trains circulant sur chaque branche est devenu équivalent, ce qui avait pour but de réduire la surcharge de cette branche. Les couloirs d'accès à la station sont décorés sur le thème des rencontres musicales en hommage à la manufacture de pianos fondée à proximité par Ignace Pleyel[100]. Les municipalités de Romainville, Noisy-le-Sec, Montreuil et Rosny-sous-Bois ainsi que le conseil général de la Seine-Saint-Denis ont proposé un projet d'extension de la ligne jusqu'à la gare de Rosny-Bois-Perrier sur cinq kilomètres[30], ce qui mettrait sous une nouvelle forme un projet vieux de plus d'un siècle[31]. Le 9 février 2011, le conseil du STIF valide l'avant projet de la seconde phase du prolongement de la ligne au nord de Paris, de Front Populaire à Mairie d'Aubervilliers. Il était auparavant prévu d'automatiser en priorité la ligne 11, mais son prolongement au-delà de Rosny-sous-Bois le justifiant est dorénavant reporté sine die[120]. Un prolongement au sud de la ligne 13 le long de la coulée verte pour une meilleure desserte de Châtillon, Fontenay-aux-Roses, Verrières-le-Buisson, Massy, Chilly-Mazarin et Longjumeau. Ouvert en 2014, il permet de relier Châtillon-Montrouge à Vélizy et Viroflay[134]. Dans la foulée, le conseil régional vote le financement d'études de faisabilité en vue du prolongement jusqu'à Ivry-sur-Seine le 20 novembre 2013[20]. Le prolongement vers l'ouest n'est pas inscrit au SDRIF adopté en 2008. Un projet de téléphérique entre Argenteuil et Gennevilliers pour traverser la Seine La Ratp a proposé l’idée d’un téléphérique, afin de relier la ligne 13 du métro, qui s’arrête à Asnières-Gennevilliers-Les Courtilles, à la gare d’Argenteuil. Elle est issue de la fusion entre l'ancienne ligne B du réseau Nord-Sud, devenue la ligne 13, et l'ancienne ligne 14 de la CMP, deux compagnies préexistant à la RATP. Mark Ovenden, Julian Pepinster, Pascal Pontremoli, Trois types différents de portes palières automatiques mi-hauteur (1,5. Schéma directeur de la région Île-de-France, schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme de la région parisienne, cinquième ligne du réseau par sa fréquentation, Société du chemin de fer électrique souterrain Nord-Sud de Paris, Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris, projet de RER nord-sud devant relier la gare Saint-Lazare à la gare Montparnasse, poste de commande et de contrôle centralisé, Aménagement des stations du métro de Paris, annonces sonores et visuelles automatiques, projet de prolongement de transport en Île-de-France, Schéma directeur de la région Île-de-France, Fédération nationale des associations d'usagers des transports, Communiqué de presse présentant les décisions prises au Conseil d'administration du STIF du 29 mai 2008. Il s'agit de la dernière extension du métro réalisée avant deux décennies. Par un tracé particulièrement difficile, une très forte rampe de 50 ‰ — la plus forte du réseau pour le roulement sur fer[87] — et une suite de courbes et contre-courbes, la ligne retrouve l'air libre et traverse de nouveau la Seine par un viaduc de 411,70 mètres de longueur, placé en position surélevée parallèlement au pont routier, avant de replonger en sous-sol sur la rive gauche en pente de 41 ‰, dans une trémie couverte[88]. Les études prévoient une extension de 3,7 km le long de la RN 2 avec deux nouvelles stations, l'une à la gare du Bourget (RER B), et la station terminus avec sortie directe sur le parvis du musée de l'Air et de l'Espace pour un coût estimé de 340 M€. Selon le Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF), la ligne 1 doit être prolongée jusqu'au carrefour des Rigollots à Fontenay-sous-Bois et la gare du Val de Fontenay, en utilisant en partie un tronçon de voies préexistant (de la station Château de Vincennes à l'atelier de maintenance RATP de Fontenay-sous-Bois)[1]. Cette extension améliore la desserte des communes d'Asnières-sur-Seine et de Gennevilliers et constitue à son nouveau terminus un pôle de correspondance avec la ligne 1 du tramway, prolongée à l'ouest depuis le 15 novembre 2012[29]. Aperçu des horaires de ligne 140 de bus pour la semaine à venir: Démarre son service à 00:10 et termine à 23:50. Le troisième prolongement, décidé de fait dès 1928, est mis en chantier en 1975 de Porte de Clichy vers Asnières et Gennevilliers. En 2018, la consultation lancée par Île-de-France Mobilités pour le nouveau matériel roulant fer MF 19 envisage le retrait des MF 77 en 2025[45]. Ces ajustements concernent la modification de l'emplacement de la station Barbara, le tracé en amont de cette dernière et la création d’un atelier de maintenance en arrière-gare de la station Bagneux - Lucie Aubrac. Un large rabattement des lignes d'autobus étant prévu, le déséquilibre du trafic entre les deux branches de la ligne 13 impose l'envoi d'un train alternativement vers Porte de Clichy contre deux vers Pleyel. Ce prolongement fait face à une difficulté technique majeure à Place d'Italie où la ligne 5 devra franchir la ligne 6 ; or les deux lignes sont actuellement au même niveau. Les travaux, considérables, entraînent des mises en service échelonnées : le prolongement de Saint-Lazare à Miromesnil est ouvert au public le 27 juin 1973 ; puis jusqu'à Champs-Élysées - Clemenceau le 18 février 1975. Le nombre de 300 000 voyageurs par jour est avancé par les associations d'usagers. Ligne 140 bus, ligne 13 métro, ligne 388 bus • 1h 22m. Les trains affichent en 2006 un taux d'occupation moyen de 116 %[35]. En 2010, elle est remplacé par une fresque de 4 m sur 1,70 m[102]. Prolongement de la Ligne 14 - Station Glarner - Lot 2 - Métro Parisien. Le prolongement de la ligne 14 était attendu depuis plusieurs années. Depuis le 17 décembre 2006, la ligne 13 dispose de son propre PCC, décentralisé au plus près de la ligne et qui gère l'ensemble de la ligne depuis Malakoff[46],[47],[43]. Après une courte interstation de seulement 290 mètres, la ligne 13 dessert la station La Fourche, de configuration particulière à deux niveaux. Cet ancien terminus dispose en arrière gare de deux voies de garage. Le prolongement de la ligne 11 jusqu'à Noisy - Champs est confirmé le 6 mars 2013 par Jean-Marc Ayrault. Cette partie de la ligne n'est alors pas équipée du pilotage automatique : en effet d'après le planning prévisionnel, le système OURAGAN aurait dû être mis en service avant le prolongement. Le tracé se dirige vers le nord-ouest en aérien le long de la plate-forme ferroviaire, dessert la station aérienne Malakoff - Rue Étienne-Dolet avant de plonger en sous-sol par une pente de 41 ‰ (4,1 m pour 100 m) et desservir la station Malakoff - Plateau de Vanves. La pose de portes palières sur le tronçon central doit permettre de diminuer l'intervalle de sécurité entre les rames à 90 secondes (105 à 140 secondes en 2007) et d'améliorer les conditions de voyage. Le projet de CPER 2007-2013 prévoit de débloquer dix millions d'euros de crédits pour le prolongement de la ligne[34], lançant officiellement le projet[35]. La concertation se déroule du 10 novembre 2014 au 10 janvier 2015, sous l’égide d'une garante nommée par la CNDP, Claude Brévan. La ligne 13 du métro de Paris est l'une des seize lignes du réseau métropolitain de Paris.Elle est issue de la fusion entre l'ancienne ligne B du réseau Nord-Sud, devenue la ligne 13, et l'ancienne ligne 14 de la CMP, deux compagnies préexistant à la RATP.La jonction entre les deux anciennes lignes est opérationnelle depuis 1976, formant ainsi une grande transversale nord-sud. Observatoire de la mobilité en Île-de-France (Omnil), Correspondance gratuite avec le reste du réseau. Lors de la réunion du comité de pilotage de la station de l'aéroport d'Orly du 3 mai 2016, la société du Grand Paris annonce que pour ne pas hypothéquer l'avenir, des mesures conservatoires vont être prises à Morangis afin de créer une station supplémentaire au-delà de 2024[110]. Ces portes sont légèrement différentes de celles testées en 2006 sur la ligne 13 à la station Invalides. Début 2008, Pierre-Christophe Baguet, alors candidat à la mairie de Boulogne-Billancourt, ainsi que Dominique Bussereau, secrétaire d'État aux Transports, manifestent leur intérêt pour une extension à l'ouest en prolongeant la ligne à partir de l'actuel terminus Pont de Sèvres par un tracé en boucle desservant deux nouvelles stations : l'île Seguin et les ponts de Billancourt. L'enquête publique se déroule du 13 octobre au 24 novembre 2014[88]. La ligne B du réseau Nord-Sud est exploitée avec des trains proches du matériel de la CMP. La restructuration de la ligne 13, qui relie d'importants pôles de correspondance, provoque une hausse brutale du trafic : de 45,7 millions de voyageurs en 1975 sur les lignes 13 et 14, il atteint 75 millions de voyageurs en 1979, soit une augmentation de 64 %. La ligne 11 étant automatisable dans le cadre du renouvellement du matériel roulant de la ligne, le gouvernement a souhaité que cette ligne devienne automatique afin de s'intégrer dans le réseau des lignes automatiques qui seront construites dans le cadre du projet du Grand Paris[54],[55]. Le quai en direction de Châtillon - Montrouge est en effet encadré de deux voies, dont celle située le plus à l'ouest est une voie de raccordement à la boucle du terminus de l'ancienne ligne 14. Cela tombe bien, Argenteuil, dans le Val d'Oise, espère voir un jour la ligne 13 traverser la Seine. Concluant à l'absence de besoin avéré d’une fréquence de 85 secondes au vu des chiffres de fréquentation attendue et en raison d'un coût investissement important (supérieur à 100 millions d'euros), le dossier d'enquête publique conclut au maintien d'un matériel à conduite manuelle à l'horizon de la mise en service du prolongement, une automatisation ultérieure restant possible à l'instar des lignes 1 et 4 du réseau[53]. Ce prolongement permettrait une meilleure desserte des ex-terrains de Renault. Cette double distribution est supprimée en 1931 après l'incorporation du réseau par la CMP[114]. Prolongement à l'ouest. Un prolongement de la ligne jusqu'à Mairie de Saint-Ouen (correspondance future avec le prolongement de la ligne 14, puis jusqu'aux docks de Saint-Ouen avait été inscrit à la phase 1 (horizon 2007-2013) du projet de schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF), adopté par délibération du conseil régional d'Île-de-France le 25 septembre 2008, mais n'a pas été rendu exécutoire[9]. 2020. En 2018, la RATP avance une division des dysfonctionnements par 8 en quatre ans[39],[45]. En 2007, des élus ont contesté le fait que le prolongement ne comporterait que deux stations assurant le maillage avec la ligne 13, en ne desservant pas tous les quartiers traversés et sans mettre fin à la délicate exploitation en deux branches. Le raccordement de l'ancienne ligne 14 (au sud) à la ligne 13 (au nord) a nécessité une traversée sous-fluviale : celle-ci s'effectue par une pente de 40 ‰ puis une fois la Seine franchie, par une rampe sur la rive droite de 31 ‰. L'entreprise ClearSy réalise le système sécuritaire de commande des portes palières sur la base du système installé en 2006. La circulation, alors très restreinte en raison des pénuries de carburant, permet de multiplier les puits d'évacuation des déblais en voirie. La ligne est équipée du système d'information en ligne, couramment désigné par le sigle SIEL, système permettant l'affichage du temps d'attente des prochaines rames vers chaque destination dans le cas particulier de cette ligne à deux branches. La création d'un tunnel sous la Seine s'effectue par le fonçage de quatre caissons préfabriqués en béton armé de 32 mètres de long et de 8,60 mètres de large. Cependant, mis en service à partir de 1910, ce matériel spécifique possède plusieurs améliorations : des caisses entièrement métalliques de longueur homogène (13,60 mètres) et de couleur bleu clair, considérées comme plus accueillantes que le vert foncé du matériel CMP, avec une distribution équidistante des portes, et ayant comme particularité leur alimentation électrique. Durant le débat public du réseau du Grand Paris du 30 septembre 2010 au 31 janvier 2011, les élus locaux du Val-de-Marne proposent un nouveau tracé plus étudié qu'en juin 2010[96]. Le dossier d’enquête publique du projet est transmis le 7 mars 2014, à l’Autorité environnementale[87]. Décoration de la station Carrefour Pleyel. En 2008, le parcours complet de la ligne demande 35 à 37 minutes de Châtillon à Asnières (36 à 38 minutes en sens inverse), et 38 à 39 minutes de Châtillon à Saint-Denis (39 à 41 minutes dans l'autre sens). Parmi eux figure une femme enceinte dans un état grave[78],[79]. Du 9 janvier au 10 février 2012, une nouvelle enquête publique présente les ajustements apportés au projet initial pour le prolongement de Montrouge à Bagneux, à la suite du retour d'expérience de la première phase. En décembre 2010, Jean-Vincent Placé, vice-président chargé des transports au conseil régional, donne son accord en vue du lancement d'une étude sur le prolongement de la ligne 1 jusqu'au quartier du Val-de-Fontenay[4]. Mais faute de crédits, cet aménagement indispensable n'est pas réalisé. Ce secteur, longtemps occupé par Engie est amené à accueillir le Centre aquatique dans le cadre des Jeux olympiques d'été de 2024 ainsi qu'un quartier mêlant emploi tertiaire et logement (ZAC Plaine Saulnier) qui pourrait justifier la desserte par un mode de transport lourd, étant pour le moment plutôt éloigné et coupé de ces deux stations encadrantes. Le schéma de principe présenté en 2011 par le STIF prévoyait par rapport à la situation de référence en 2020 une désaturation de 23 % sur le tronçon commun, de 27 % sur la branche Saint-Denis et de 19 % sur la branche Asnières-Gennevilliers[65]. Depuis le 29 juillet 2008, le PCC intègre les fonctions « manœuvre et départ » qui étaient auparavant réalisées dans les postes de manœuvre localisés (PML) des différents terminus de la ligne. La CMP avait commandé un matériel spécifique et moderne pour cette nouvelle desserte, le matériel articulé (MA). Ces nouvelles rames, composées d'éléments séparables en fonction de la demande, doivent permettre d'améliorer les fréquences sur les branches en heure creuse. PS: "La ligne 11 prolongée et moderniser pourra attendre un peu" attention à … Sa mise en service est envisagée avant 2030. 1/ Le prolongement de la ligne 13 Sommaire Prolongement Offre métro Restructuration bus Renforcement bus Les coûts Perspectives. Mais le conseil régional d'Île-de-France souhaite durant les années 1990 la reprise par la ligne 14 de la branche Villejuif de la ligne 7 à partir de la station Maison-Blanche. Sur ce quai se trouvent les reproductions du Penseur et de l’Honoré de Balzac, œuvres majeures de Rodin, afin de présenter le musée Rodin situé à proximité[105]. Le 20 janvier 1912 est mise en service la branche entre La Fourche et Porte de Clichy. Réalisé le 14 décembre 2020, le prolongement de la ligne 14 de Saint-Lazare à Mairie de Saint-Ouen permet de réduire de 11 à 7 minutes le trajet de Saint-Ouen à Saint-Lazare et d'éviter les 5 minutes de la correspondance pour prolonger son parcours en direction de Châtelet[73]. Après les travaux menés entre 2015 et 2018, le monument est évoqué par une nouvelle scénographie à base de photographies[99]. Le tracé et les stations alors envisagées ne remettent pas en cause la création de la ligne 7 du tramway francilien, dont le tracé se situe plus à l'est[93]. Le trafic de la ligne est donc important : le nombre total de voyageurs transportés représente environ les deux tiers de la fréquentation de la ligne 1, mais plus du double des lignes 10 et 11. Dans chaque sens de circulation, les trains s'arrêtent dans la première demi-station rencontrée. La ligne issue de la fusion se nomme 13 et non 14, la logique de numérotation prenant le pas sur le ménagement des voyageurs superstitieux. Les incidents, qu'ils soient techniques ou causés par les voyageurs, y sont particulièrement nombreux[34]. Pour sa part, le Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF), adopté par délibération du Conseil régional d'Île-de-France le 25 septembre 2008 situe ce prolongement en phase 3 (2021 à 2027)[92]. Celle-ci est effectuée doublement par rail électrique à −600 V et par fil trolley aérien à +600 V, les rails de roulement se trouvant au point milieu et à un potentiel nul, comme dans le cas du métro de Londres. Ouragan doit permettre de porter l’offre de 38 à 40 trains à l’heure de pointe[42], mais l'installation d'Ouragan est reportée une nouvelle fois à 2013[55]. Fascicule 5 – Propositions pour la mise en œuvre, SDRIF - Développer le réseau pour accompagner le projet urbain, Stains : le maire réclame un nouveau tram et le métro, La RATP met à l’arrêt le Trottoir roulant rapide à la station Montparnasse, « Le trottoir roulant rapide de Montparnasse va disparaître », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Ligne_13_du_métro_de_Paris&oldid=179837249, Transport dans le 6e arrondissement de Paris, Transport dans le 7e arrondissement de Paris, Transport dans le 8e arrondissement de Paris, Transport dans le 9e arrondissement de Paris, Transport dans le 14e arrondissement de Paris, Transport dans le 15e arrondissement de Paris, Transport dans le 17e arrondissement de Paris, Transport dans le 18e arrondissement de Paris, Projet de prolongement de transport en Île-de-France, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page utilisant un réseau inconnu des transports en Île-de-France, Page utilisant un paramètre inconnu d'un modèle des transports en Île-de-France, Portail:Transports en Île-de-France/Articles liés, Portail:Transports en commun/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Promotion avec 10 AdQ, 5 BA et 2 non labellisés, la déviation de la branche d'Asnières à partir de.
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